Située dans la vallée de Shenandoah, entre les montagnes Allegheny et Blue Ridge, sur la rivière Roanoke, Salem, en Virginie, possède toute la beauté et la grandeur que la nature peut offrir. Salem est connue comme "l'étoile du sud" - un surnom approprié pour une ville qui possède une étoile géante de 15 mètres de néon au sommet de sa plus haute montagne. Et depuis 25 ans, c'est là que se trouve Star Tag and Label.
Les premières années
Le propriétaire, Patrick Pollifrone, a commencé sa carrière il y a 42 ans en dirigeant des presses flexographiques. Après quelques années, il est passé à la gestion et a fait partie d'une équipe qui a aidé à lancer une nouvelle branche d'une entreprise d'étiquettes existante. Avec les années 90, l'insécurité de l'emploi est née des synergies et des acquisitions.
Avec une femme qui le soutient et qui ne bronche pas lorsque Pollifrone met tout en jeu - y compris leur maison et leur bateau - pour lancer une nouvelle société d'impression, il achète un Mark Andy 7" d'occasion et se lance. Il attribue le succès de la nouvelle entreprise à "quelques bons employés avec l'attitude que l'échec n'est pas une option".
Croissance - Réaliser ce qui semblait impossible
En mettant l'accent sur la satisfaction du client et en vendant entièrement par l'intermédiaire de distributeurs, Star Tag & Label a suivi une trajectoire de croissance au cours du quart de siècle suivant. La philosophie de M. Pollifrone, qui consistait à "commencer petit et à se développer selon ses moyens", a porté ses fruits et la croissance est venue de la demande des clients.
Le besoin de ses clients pour plus de couleurs et des bandes plus larges a dicté les presses flexo qu'il a achetées (5 en tout) au fil des ans. Des équipements de soutien tels que des enrouleurs verticaux et des coupeurs de mandrins semi-automatiques ont été achetés pour économiser de la main-d'œuvre. Et la diversification des produits a exigé que Star Tag & Label achète des empileurs à cisaille, des unités de pliage en éventail et des modules d'alimentation en broches pour les presses. M. Pollifrone fait remarquer que "la dernière chose que l'on souhaite faire est de refuser des clients parce que l'on n'a pas le bon équipement". Avec ce portefeuille d'équipements, M. Pollifrone était certain de pouvoir offrir à peu près tout ce dont ses clients avaient besoin.
Le besoin de changement
Reconnaissant la validité du vieil adage selon lequel "on peut choisir de revenir en arrière vers la sécurité ou d'avancer vers la croissance", M. Pollifrone a gardé les yeux et les oreilles ouverts. En écoutant ses clients et le secteur, en s'adaptant et en accumulant des connaissances, il a pu utiliser au mieux ses machines actuelles.
Il a commencé à voir apparaître de nombreuses tendances. L'époque où les noyaux de 3 pouces étaient les rois était révolue - Pollifrone a commencé à voir des noyaux de 1 pouce et des étiquettes sans noyau. De nouvelles imprimantes - telles que de minuscules imprimantes fixées à la bande - modifient la façon dont les étiquettes sont finies. Les fentes d'alimentation et les barres de détection sont devenues monnaie courante. Comme le fait remarquer M. Pollifrone, "si vous avez une idée des besoins du client et que vous avez vu suffisamment de changements, vous saurez si vous pouvez gérer les changements sur votre équipement existant ou s'il est temps de le mettre à niveau."
Le long chemin vers l'impression numérique
La plus grande évolution que Star Tag & Label a connue est la demande des gros clients qui réclament désormais des tirages plus courts. Et sans presses numériques, ils allaient chercher ailleurs.
Fidèle à sa philosophie "commencer petit", Pollifrone a commencé avec une petite imprimante numérique de bureau Primera et un traceur de découpe. C'était lent, mais cela permettait de satisfaire ses clients... au début. Il décrit son parcours vers l'impression numérique de cette manière. "C'est comme tremper son orteil dans l'océan et y marcher lentement jusqu'à ce que vous ayez le nez dedans".
Mais à mesure que les UGS multiples devenaient populaires, notamment sur les marchés de la bière artisanale, du vin et des spiritueux, ainsi que des huiles et des cosmétiques de spécialité, il était clairement temps de passer à une machine numérique plus rapide et plus efficace.
En 2016, Pollifrone a fait le grand saut dans l'impression numérique à l'échelle de production et a acheté une Jetrion 4900 UV Inkjet qu'il a vue à Labelexpo. La presse Jetrion a bien servi Star Tag & Label pendant son temps fort, mais comme la technologie évolue, les besoins des entreprises aussi. Pollifrone a vu un grand avantage et un potentiel à long terme dans le remplacement de la Jetrion par une nouvelle presse Xeikon PX3000 (Panther) UV-IJ avec une capacité de 5 couleurs. Pollifrone confirme que la nouvelle presse à jet d'encre UV " .... a fait tout ce que Xeikon a dit qu'elle ferait. Nos ventes ont augmenté grâce à la vitesse plus rapide de 164 pieds/minute et notre consommation d'encre a diminué parce que les têtes et les jets de la Panther projettent un brouillard plus fin."
Équilibrer le travail dans un environnement multipresse
Aujourd'hui, Star Tag & Label utilise deux modèles d'estimation pour déterminer la destination d'un travail : numérique ou flexographique. Ils prennent en compte le nombre d'UGS et le métrage total. Par exemple, si un travail comporte deux ou trois UGS en quatre ou cinq couleurs et ne dépasse pas 20 000 pieds, il sera plus que probablement exécuté sur la Xeikon Panther 3000. Si le travail est plus long que 20 000 pieds, il sera évalué dans les deux sens.
L'augmentation de la vitesse de la presse Panther a permis d'augmenter le nombre de séquences numériques et d'alléger considérablement le travail des presses flexo. Auparavant, ses opérateurs flexo devaient consacrer 2 à 2 ½ heures à la préparation d'un travail en 4 ou 5 couleurs, puis devaient le nettoyer par la suite. Et si c'était pour seulement 1 000 étiquettes, cela ajoutait une frustration considérable à leur travail. M. Pollifrone conclut : "Comme j'ai déjà été opérateur de presse, je pense toujours à travers la lentille 'comment je me sentirais' et j'essaie de rendre les choses aussi faciles que possible. Je ne veux pas épuiser mes opérateurs de presse, car ils sont notre atout le plus précieux !"
